Running, Trail, Fitness
 

Jesse Owens après le film, la biographie

Manu


 

jesse-owensSi vous ne connaissez pas Jesse Owens alors vous devez sans doute revoir un peu votre culture sportive. En effet, dans la liste des grands champions d’athlétisme, il tient une place toute particulière, cet athlète noir américain de l’entre deux guerres a été 4 fois champion olympique (100m, 200m, 4x100m et saut en longueur) sur la même olympiade. Une performance déjà extraordinaire mais le contexte donnera à ces performances une dimension toute particulière puisque il a réalisé ces records dans le stade de Berlin en 1936 devant Adolf Hitler.

En juillet dernier, vous avez sans doute entendu parler du film « La couleur de la victoire » (Titre Original : Race) de Stephen Hopkins. Maryse Éwanjé-Épée (Idem si vous ne connaissez cette championne de saut en hauteur française, je vous invite à relire votre livre d’histoire du sport français) nous propose un magnifique livre sur ce grand champion.

Le 4 août 1936 sur l’épreuve de saut en longueur, alors qu’il est déjà champion olympique du 100m, Jesse Owens va battre Luz Long (athlète allemand) soutenu par un public allemand en nombre, avec un bond à 8m07. Il faut dire que Jesse Owens est le détenteur du record du monde depuis 1935 et que son record tiendra jusqu’en 1960.

Une vie qui finira tristement pour ce grand champion de course à pied après 30 ans de cigarettes et un cancer des poumons.

Un livre de qualité, fouillé, illustré par de superbes photos d’époque et pour couronner le tout, une préface d’un autre gros champion du saut en longueur : Mike Powell. Un livre à offrir ou se faire offrir pour Noël ?

Je ne boude pas mon plaisir avec ce livre qui pour couronner le tout a été dédicacée par l’auteur.

Livre sur Amazon

 

Un commentaire sur “Jesse Owens après le film, la biographie”


Posté par dufaut Le 22 décembre 2016 à 14:50

Si vous êtes plutôt marathon il y a un livre sur Alain mimoun qui est sorti il n’y a pas longtemps…
J’en suis à la fin. Et du coup ça donne envie de plonger dans celui de jesse Owens…

Répondre


Laisser une réponse