Malheureusement, ce genre de nouvelles arrivent régulièrement mais il ne faut pas pour autant céder à la psychose. nous sommes des millions à courir chaque jour et ce genre de cas arrive épisodiquement mais cela défraie la chronique dans les milieux de coureurs.
Bien sûr, il faut être en colère, être triste pour cette coureuse qui disparait alors qu’elle prenait plaisir à faire du sport. Cette mauvaise rencontre fut la dernière. Nous tous, nous croisons des dizaines de personnes à chaque footing. Cette malchance défie donc les statistiques. Pourquoi Elle ? Pourquoi ce jour-là ? Pourquoi ce moment (de plus en pleine journée) ?
La probabilité de cet événement malheureux est proche de zéro mais malheureusement le risque nul n’existe pas. Il suffit de voir le nombre d’agressions sexuelles qui passent dans les faits divers pour se rendre que les cas auquels nous sommes exposés sont plus rares.
En discutant avec une amie, j’ai compris la complexité que pouvait vivre les femmes d’organiser une vie de famille, un travail et trouver du temps pour s’entrainer et pouvoir le faire dans des conditions les plus sécurisées possibles. Impossible comme je le fais de courir seul dans la nuit à 6 heures du matin.
Le plus simple étant sans doute de s’inscrire dans un club de running et de profiter des conseils d’un entraineur mais surtout d’un groupe en courant ensemble.
Une pensée pour Carolin et pour toutes les autres qui ont fait la mauvaise rencontre en faisant leur jogging…