La e-saga de l’été – Avertissement, notes et prologue

Et bien voilà, Wanarun, fort de son statut de grand média international, se lance à son tour dans la bataille féroce de la saga de l’été. Il était tant, la concurrence a fourbi ses armes pendant de nombreuses années …

Ah oui, j’ai oublié le titre de cette saga et le nombre d’épisodes. Alors, pour le titre,  j’hésite encore. Evidemment, comme vous êtes en vacances, le cerveau – pas les jambes j’espère – au repos complet, je n’ai pas souhaité rédiger une soupe intello franco-française germanopratine sur des mérites comparés mais plutôt une gentille bluette romantico-sportive – genre Harlequin, pour ceux qui connaissent, avec beaucoup de running, si vous voyez ce que je veux dire, pour nous changer des docteurs et des infirmières.

Donc pour le titre, j’avais bien pensé à « Pour l’amour de Carla » mais au vu de la jurisprudence actuelle sur l’emploi – très risqué – de ce prénom, j’ai renoncé. J’ai aussi pensé à quelque chose comme « L’amour est dans le running » ou « Il court, il court, l’amour » ou encore « Cours toujours, tu m’intéresses » mais avant d’entériner, il faut que je creuse encore un peu le sujet. Quant au nombre de chapitres, j’espère vous tenir en haleine au moins jusque fin août mais sans l’intention de concurrencer les Feux de l’Amour sur le créneau de la longévité.

Avertissement : toute ressemblance avec des personnes existantes, que vous et moi cotoyons chaque jour ou rencontrons à l’occasion de compétitions n’est évidemment pas fortuite. L’auteur, a défaut d’avoir de l’imagination, a essayé d’utiliser au maximum ses quelques capacités d’observation.

Notes du webmaster : n’ayant pas eu connaissance à l’avance du tissu d’âneries qui risque d’être déployé dans cette saga, puisque les chapitres suivants ne sont même pas encore rédigés et s’inquiétant à juste titre, le webmaster du site dégage toute responsabilité quant aux effets éventuels et négatifs consécutifs à une lecture assidue de cette histoire.  

Prologue : le sage a dit « Pour aller plus vite, préfère la course à la marche » puis en regardant son disciple il a ajouté « Quoique … ».