BSC BODY SCIENCE COMPRESSION essai et résultats du concours

Qui c’est qui va avoir la chance de pouvoir désormais courir tout de noir vêtu(e), silhouette élancée et muscles saillants à faire pâmer ses voisins ou voisines – le ou, c’est pour garder un peu de suspense … ? C’est, c’est, c’est… Je fais durer le plaisir. Figurez-vous que j’ai changé de méthode pour le tirage au sort. J’ai mis les noms par ordre alphabétique dans un fichier excel et j’ai utilisé un générateur de nombres aléatoires (sur www.random.org). Ca me change des petits papiers. Mais j’ai une excuse, j’étais fatigué de ma journée (Aller retour professionnel en Allemagne). Promis, je reviens aux papiers et à la casquette publicitaire la prochaine fois. Bref, je vous raconte ma vie mais j’oublie de vous donner le nom du gagnant. Mince, je me suis trahi, c’est UN gagnant et il a pour nom …  Cédric LUCAS.

Bravo !!! Il ne reste plus maintenant qu’à choisir la formule : collant long ou cuissard+manchons pour le bas / T-shirt ou débardeur pour le haut ? On en parle par email. Désolé pour les autres, mais ce n’est que partie remise. Prochain concours prévu le 24 avril. Une innovation sympa à gagner pour 5 personnes … Un peu de patience. En passant, je précise que je ne connais Cédric, notre gagnant, ni d’Eve ni d’Adam et qu’il ne fait pas partie de mes amis Facebook (là, c’est juste pour répondre à un commentaire lors du précédent concours LOL).

BSC Body Compression

Comme convenu lors de mon précédent article (cliquer ici) j’ai continué à utiliser les tenues 2011 BSC lors de mes séances d’entraînement de préparation au Marathon de Paris mais, vous le savez, j’ai couru l’épreuve sans.

J’ai essayé sur une séance d’1h30 de remettre le T-shirt manches longues mais décidément, ce n’est pas mon truc. Au bout d’un quart d’heure, je commence à éprouver une gêne dans le haut du dos et au bout d’une demi-heure, cette gêne se transforme en douleur. Je préfère nettement le débardeur encore que, dès que je dépasse 1h30 d’effort, je commence également à éprouver une gêne au niveau du haut du dos. La question que je me pose donc est « comprimer le haut du corps a-t-il un intérêt en course à pied ? ». On pourrait parler d’un maintien du dos mais ce n’est même pas le cas. Donc le haut, en tous les cas pour moi, c’est plutôt non.

Pour le bas, je préfère la formule collant long au couple manchons mollets / quads (cuissard) – notez bien que les manchons mollets BSC peuvent être utilisés seuls comme tout manchon qui se respecte. Je vais vous expliquer pourquoi. Ce n’est pas qu’une affaire de goût.

J’ai presque autant aimé la version 2011 du collant long que son ancêtre 2010. Je dis presque car, aussi curieux que cela puisse paraître, je n’ai pas flashé sur le nouveau design autour du genou censé favoriser la proprioception. De fait, j’ai même été un tout petit peu gêné aux articulations avec l’impression qu’il fallait « forcer » pour faire plier la zone. Peut-être d’ailleurs était-ce l’effet justement recherché ? Sinon, j’ai retrouvé, mais je l’avais déjà dit dans mon premier article, la protection contre les micro-traumatismes et les déplacements musculaires intempestifs ainsi qu’une récupération plus rapide. Mêmes effets avec les manchons mais uniquement sur les mollets. Tant sur le collant long que sur les manchons, j’apprécie la compression « ciblée » de BSC.

J’aime moins le cuissard, non pas qu’il ne soit pas efficace sur le haut de la jambe, bien au contraire, mais, comme d’ailleurs avec les cuissards des autres marques que j’ai déjà pu essayer, je finis par avoir une petite pointe douloureuse à l’arrière de la jambe juste à la limite basse du cuissard. C’est peut-être psychologique … ou alors est-ce lié au différentiel de compression qui apparaît dans cette zone « frontière » ? Voilà pourquoi je préfère le collant long.