La Riot 3 est une tuerie

Ah ah ah je vous l’avais bien dit sur Wanarun que la Adidas Supernova Riot 3 était une vraie tuerie ! Aussi, ça ne m’a pas étonné quand j’ai reçu la newsletter de i-run annonçant « Adidas Supernova Riot 3 : Elue meilleure chaussure de trail »

Effectivement, le magazine Endurance Trail a sorti en plus de son numéro traditionnel qui est actuellement en kiosque, un supplément gratuit de 48 pages dans lequel des traileurs ont testé 62 chaussures et c’est « notre » Riot qui s’en sort haut la main.

Et là ma première réaction a été  « je le savais je le savais » et « ça, ça fait longtemps qu’on le dit sur wanarun » ! Comme quoi, sur wanarun, on a du flair !

Pour résumer et répéter pour nous nouveaux lecteur ce qu’on a déjà dit, les adidas supernova riot 3 sont une tuerie parce que :

dans la boue elles accrochent, peu de risque de glissade incôtrolée grâce aux crampons de la semelle Continental (comme les pneus : en fait, plein de petits crampons cela permet de mieux adhérer à la surface, mieux qu’avec des gros crampons espacées dans lesquels la boue restent accrochée ce qui alourdit la chaussure ;
le chaussant est hyper confortable, même quand les pieds n’en peuvent plus, on se sent vraiment bien dedans ;
le pare-pierre efficace, les orteils sont bien protégés (ce qui n’est pas le cas, croyez moi avec d’autres marques où les orteils cognent cognent)
la chaussure sèche vite, on peut passer dans une cours d’eau et finir son rail les pieds aux secs (si, si je l’ai testé… et j’ai même eu la remarque « bah, par où tu es passée ? tu n’as pas les pieds mouillés)
– le look faut l’avouer, est bien sympa
– et ce qu’on a déjà dit, la semelle ne s’use pas, c’est du solide !
– et pour terminer, grâce à la technologie formotion, ça envoie bien, bien que ce soit du trail, la chaussure reste dynamique tout en étant stable (ce que j’apprécie car étant pronatrice j’ai besoin de stabilité et comme je ne suis pas super douée, j’ai tendance à me tordre les pieds, à glisser etc etc)

…. tout ça pour vous dire qu’après mon marathon, je vais me remettre au trail… plus dur pour les genoux mais moins épuisant pour  mes pauvres lombaires que le bitume !