La TDS vécue sur la ligne d’arrivée

En tant que coureur on éprouve toujours une émotion particulière lorsqu’on franchit la ligne d’arrivée d’une course. Que se soit son tout premier 10 kilomètres ou bien son énième trail terminé dans la douleur…

Hier soir j’ai vécu d’autres émotions sur une ligne d’arrivée : celle de la TDS 2013. Cette fois-ci je n’étais pas coureur mais spectateur, et aux premières loges s’il vous plait !

Arrivé mercredi après-midi à Chamonix, je fais tout doucement connaissance avec la ville qui sera la capitale mondiale du trail pendant quelques jours pour vivre The North Face ® Ultra Trail du Mont Blanc® avec, en apothéose, l’arrivée de l’UTMB samedi 31. Ma première visite sera le stand I-Run, sur le village utra-trail, sur la place du Mont-Blanc, où je retrouve Manu, Monsieur Wanarun.

Vient ensuite le retrait de mon dossard pour ma première CCC dont le départ sera donné de Courmayeur le vendredi 30. Tout est parfaitement huilé ; l’organisation est au top. Après présentation de sa carte d’identité pour identification et avoir déposé sa caution de 20 euros (1 seul billet de 20 euros, pas deux de dix) je présente mon sac pour la vérification de quelques éléments du matériel obligatoire. J’emprunte ensuite le circuit pour, tour à tour, la mise en place de la puce sur mon sac, la récupération du sac de délestage, du ticket pour la navette Chamonix-Courmayeur… A peine dix minutes se sont écoulées mais il n’y a pas foule ce mercredi (jeudi à 10 heures la file atteint plus de 50 mètres !).

Je dépose ensuite mes affaires à l’ENSA où je serai logé et récupére mon accréditation. A peine le temps de prendre un verre avec quelques worldtrailanders (qui prendront le départ de la CCC également), de dîner d’un risotto et d’une salade de fruits (le menu UTMB de la brasserie j’M au coeur de Chamonix), de retrouver Cécile dans la salle de presse que me voilà sur la ligne d’arrivée à attendre les premiers de la TDS.

Le reste en vidéo et photos !

 

A peine remis de toutes ces émotions je retourne une dernière fois à la salle de presse où Sabine de Le Pape me dira : « l’émotion est encore plus forte sur la ligne d’arrivée de l’UTMB ; généralement tu pleures ! ».

L’interview du deuxième, Antoine Guillon (interview réalisée par l’organisation)