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Ravitaillement salé : une alternative

Manu


 

C’est un problème récurrent que j’ai depuis toujours sans vraiment trouvé la solution, c’est un problème que de nombreux traileurs constatent au delà de 7-8 heures, mais pour moi au delà de 3 heures c’est déjà le bout du monde. Gels, pâtes de fruits, barres de céréales,…. du sucre toujours du sucre. Alors effectivement, le sucre est un moyen très rapide de récupérer de l’énergie mais cela devient vite très écoeurant.

Il y a deux ans, lors d’un trail et après 20 kilomètres, au ravitaillement, j’étais ravi de manger des chips et un bouillon de poule. Depuis je me suis posé pas mal de questions, mais il faut dire que les alternatives en terme d’alimentation sont plutôt rares. Il suffit de voir un rayon d’alimentation sportive pour voir que les produits sucrés sans en écrasante majorité. Mais cela commence à venir tout doucement.

En juillet dernier, sur un triathlon, j’ai sauté sur un paquet de Tuc après plus de 3 heures de courses. Cela m’a fait un bien fou, depuis j’ai décidé de creuser un peu le sujet pour faire des tests.

J’ai donc décidé de prendre du salé et du sucré sur mon prochain marathon. La marque Isostar  propose des crunchy crackers sous la forme d’une cracotte fourrée au fromage avec un gout de jambon fumé.

Cela peut paraitre un peu surprenant de manger du salé la première fois pendant l’effort mais on s’y fait très bien et on retrouve dans la composition du maltodextrine comme dans la plupart des boissons ou des bars énergétiques.

A l’image des cracottes, ils sont assez fragiles, il faudra faire plus attention qu’un gel qu’on peut coller un peu n’importe où. Vous pouvez sinon les manger en morceaux en les conservant dans le sachet d’origine. Je vous conseille d’ailleurs de les ouvrir avant la course pour ne pas avoir à gérer l’ouverture pendant l’effort et perdre du temps inutilement.

 

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