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2XU Perform : liberté et triathlon

Manu


 

Je dois vous avouer qu’il y a quelques années, je regardais toujours les triathlètes sur les courses avec un oeil interrogatif, je ne comprenais pas pourquoi ils couraient tous en tri-fonction. Je me disais qu’ils se mettaient dans les conditions de course. Et un jour, je me suis mis au triathlon…

Après avoir étudié un peu le matériel nécessaire (car il faut l’avouer en triathlon, la matériel joue une part importante), j’ai bien compris que la tri-fonction était indispensable : sèche rapidement, permet d’enchainer les 3 efforts sans se changer,… et au delà de tout ça, c’est super agréable à porter.

La 2XU perform ne déroge pas à la règle, sa composition est basée de Nylon, de polyester et d’élasthane. Cela en fait une seconde peau douce à porter. Bien plus qu’un simple cuissard cousu à un tee-shirt de compression. Tout est pensé dans le moindre détail.

  • une peau de chamois bien dimensionnée ni trop grosse ni trop petite : suffisante pour le vélo et imperceptible pour les autres efforts.
  • des éléments de compression sur les cuisses
  • un séchage ultra-rapide.

La tri-fonction est un élément clé dans un triathlon, tout simplement parce qu’elle simplifie au maximum l’épreuve, les transitions sont réduites au strict minimum. Mais la capacité de séchage et en particulier de la peau de chamois est importante, imaginez vous faire plusieurs dizaines de kilomètres à vélo avec une peau de chamois humide entre vos fesses et la selle du vélo…

J’ai eu l’occasion de tester cette tri-fonction sur mon dernier triathlon et je n’ai pas regretté. Tout de suite sèche malgré un soleil qui a tardé à se montrer et une température à 7 degrés lors du départ à 8 heures du matin. L’évacuation de l’eau est très rapide dès le retrait de la combinaison. Je n’ai eu aucune gêne, ni aucun frottement à signaler même en course à pied.

Je comprend bien mieux pourquoi les triathlètes courent avec les tri-fonctions même sur des épreuves de course à pied mais j’avoue que je n’ai pas encore passé le cap. Peut-être un jour…

 

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